Les soulèvements qui aboutissent se combinent à un projet de société
Le projet de société serait l'apport clef des Solidaires... s'il existait

Byciclette et policiers


L'actuelle crise économique, qui s'annonce la plus profonde depuis celle de 1929, combinée aux trois crises écologiques-sanitaires du climat, de la biodiversité et de la pandémie n'a généré chez les détenteurs de capitaux que le réflexe de la préservation à tout prix de la valeur de leur capital fictif qui en est le reflet et qui est pour eux le seul réellement existant [...]
Une impression de lassitude chez une Greta Thunberg impactée par la pandémie
Dans une toute autre direction invite le récent appel de Greta Thunberg et de ses camarades, traduit en annexe, qui demeure dans la lignée de son premier appel à l'action gréviste pour une lutte climatique conforme à la science. On en ressent pas moins une impression de lassitude, bien compréhensible mais dommageable, qui amène à arrondir les coins. Il n'y a plus ce doute concernant la science du GIEC-ONU n'intégrant pas dans ses scénarios les points de bascule ni même la responsabilité différenciée bien que l'appel soit clair sur la responsabilité historique des pays du «vieil impérialisme». La liaison de la crise climatique avec celle pandémique n'est pas faite alors que toutes deux sont écologiques et ont des recoupements comme la déforestation productrice de GES en masse tout comme de zoonoses. Ce silence laisse entendre que la pandémie n'est qu'un obstacle et non un tremplin pour la lutte climatique. Malgré la reconnue totale passivité de la «communauté internationale» à qui on demande de s'expliquer, les autrices persistent à lui faire confiance y compris à ses conférences qui pourtant « 
ne conduiront pas à des changements suffisants ».


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Les soulèvements qui aboutissent se combinent à un projet de société


Position du Réseau écologiste Solidaire au sujet du Plan climatique du parti
La montagne anticapitaliste accouche d'une souris sociale-libérale

Manif statut réfugié Montréal été 2020
Photo: Valérian Mazataud Le Devoir – Des migrants sans papiers, des travailleurs agricoles temporaires, des demandeurs d’asile et des étudiants internationaux
ont manifesté dimanche [26 juillet 2020] devant les bureaux d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, dans le Vieux-Montréal.



Le Réseau des militantes écologistes de Québec solidaire (RMÉ) a tenu durant la pandémie quatre conférences virtuelles visant à modifier le Plan de transition climatique de Québec solidaire (PT-QS) qui, rappelons-le, n'a jamais été ni discuté ni voté par la base du parti. Et plus il était connu, plus il produisait de l'insatisfaction au sein de la militance du parti et jamais, bien que rendu public lors de l'élection de 2018, ce plan n'a été popularisé par la direction du parti. Cette direction a consenti à un processus confidentiel de révision qui traîne en longueur sous la gouverne d'un comité ad hoc non statutaire étroitement contrôlé par la direction. Elle ne s'est certes pas opposée à la démarche parallèle du RMÉ mais elle n'a pas invité les membres du parti à y participer non plus. Elle s'est plutôt servie des ressources du parti pour organiser un processus parallèle de conférences virtuelles ce qui a eu l'effet de marginaliser l'initiative du RMÉ.


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Position du Réseau écologiste Solidaire au sujet du Plan climatique du parti