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À propos de la note de recherche de l’IREQ sur la financiarisation
Manque la conclusion : l’indépendance pour exproprier les banques

À bas l'austérité capitaliste

La cruciale note de recherche de Gilles L. Bourque de l’IREQ mérite d’être lue, commentée et débattue d’autant plus qu’elle est brève, facile à lire et parsemée de graphiques.  Indépendamment de son biais keynésien pro-entreprise productive de plus-value contre le stérile « capital rentier », elle démontre limpidement et simplement l’étouffement économique du Québec et du Canada par la financiarisation du capitalisme ici comme ailleurs dans le monde.  Le monde est devenu la chose d’une masse énorme de capital fictif qui refuse la dévaluation, conséquence de la crise dont il est à la source, quitte à entraîner l’humanité dans sa chute.  À la gauche québécoise d’en critiquer le cadre keynésien et d’en dégager une alternative de gauche qui ne peut être que l’indépendance pour exproprier banques et consorts.  Ainsi sera brisé cet hydre qui, équipé de l’arme du libre-échange, fait chanter les peuples pour les empêcher de réaliser le plein emploi écologique afin de sauver la civilisation humaine.

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