Agression sexuelle

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Dénonciations des systémiques agressions sexuelles
Une lutte qui doit devenir consciemment anticapitaliste pour aboutir


cochons et grannies

L’actuelle conjoncture mondiale de frigorifique vent de droite (élections allemandes, autrichiennes, japonaises, tchèques, argentines, congrès du PC chinois, Catalogne pour citer les derniers événements) très présente au Québec avec la montée de la CAQ et les manifs crypto-fascistes, met sur le devant de la scène les questions identitaires. Les rapports de classe lesquels avaient la vedette du temps des mouvements Occupy-Indignés-Printemps, en fait jusqu’au dernier crève-cœur Front commun, en sont relégués à l’arrière-scène. Depuis 2016, les manifestations montréalaises n’arrivent pas à dépasser mille personnes et encore… sauf celle contre la tuerie islamophobe de Québec, un coup de cœur sans suite. Les débats très émotifs sur la race/ethnie (commission anti-raciste, loi 62) et le sexe/genre (hashtag #moiaussi), car ils concernent de larges identités opprimées, occupent toute la place. Ils acculent la gauche à la défensive. Elle ne sait qu’en faire, sauf à rallier armes et bagages le courant dit progressiste sur la question du genre/sexe, plutôt celui nationaliste sur la question race/ethnie.

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Agressions sexuelles et capitalisme