bureaucratie syndicale

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Coalition Refusons l'austérité
La locomotive étudiante laissera-t-elle le convoi syndical en gare?

Occupons Montréal


[Ce texte complète « De la souveraineté de l'assemblée générale à la ''grève sociale'' en passant par la ''grève inversée'' » se trouvant sur mon site Internet]

La locomotive étudiante s'ébranle pour peut-être le premier jour du printemps, assurément pour une grande manifestation avec grève étudiante d'ampleur indéterminé d'au moins 24 heures le deux avril. Non seulement le mouvement syndical, partenaire du mouvement étudiant au sein de la grande coalition « Refusons l'austérité », ignore-t-il l'échéance d'avril mais il ne s'enligne pas pour au moins une journée de grève nationale au moins du secteur public pour le premier mai... alors que la population universitaire aura terminé sa session d'hiver-printemps et que celle cégépienne vivra le stress de la fin de session. Tant à l'assemblée des mille de Refusons l'austérité du 12 février à Québec qu'à l'assemblée générale spéciale du Conseil central du Montréal métropolitain de la CSN (CCMM-CSN) du 18 février en passant par le conseil fédéral de la Fédération de la santé et des services sociaux de la CSN de 10 et 11 février (FSSS-CSN), maints participantes ont manifesté à divers degrés une impatience sinon une frustration vis-à-vis le refus d'organiser au moins une journée de grève nationale avant l'été, même pas une réédition de la grande manifestation de la fin novembre 2014.


Pour lire le texte complet :
La locomotive étudiante

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Un printemps érable prolétarien en vue?
De la grand manif du 29 novembre à la « grève sociale »

Homme Front commun 20-mars-2010 13-40-22

La coalition « Refusons l'austérité », composée des CSN, FTQ, CSQ, CSD, SFPQ, SPGQ, FAE, FEUQ, FECQ, MASSE et Collectif Québec sans pauvreté et rendue publique le deux novembre, appelle à refuser l'austérité « 
[p]our préserver le Québec de la destruction ». Nul doute qu'il est du devoir de chaque militante, de chaque syndicat local, de chaque groupe populaire, de mobiliser de sorte que cette manif se hausse au niveau des grands moments du Printemps érable. Mais il faut le faire sans naïveté, les yeux grands ouverts. Pourquoi cette nouvelle coalition annoncée à peine trois jours après le succès de mobilisation de la manif de la Coalition mains rouges de quarante à cinquante mille personnes suivie une semaine plus tard de celle presque aussi nombreuse de l'Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE)? Malgré le choix malencontreux d'un jour de semaine lequel en plus mobilisait les parents de jeunes enfants pour autre chose, la grève de 24 heures de 80 000 étudiantes, pour la plupart membres de l'ASSÉ, a fait toute la différence.


Pour lire le texte complet :
De la grand manif du 29 novembre à la « grève sociale »