véhicule électrique
08/02/21 /19:16 /
Le recyclage des véhicules à essence et des batteries lithium-ion
Une illusion menant à un nouvel extractivisme et au règne des GAFAM

La députée Solidaire responsable du dossier environnement plaide pour le recyclage des autos à essence en autos électriques tout en admettant que technologiquement on n'y est pas encore. Mais surtout elle exige un recyclage obligatoire des batteries lithium-ion, en ce moment embryonnaire, tout en plaidant pour un contrôle gouvernemental accru des mines de lithium, de cobalt et autres liés à la filière des batteries (Charles Lecavalier, Québec solidaire aimerait convertir les autos à essence en voitures électriques, Journal de Québec, 29/01/21). Des PME de la reconversion ou même une entreprise d'État, non prôné par la députée, seraient-ils en mesure d'accoter les GAFAM et monopoles de l'auto déjà à l'offensive? Le recyclage des batteries lithium-ion est-il une solution écologique? En quoi le contrôle étatique du développement minier — la députée ne réclame même pas au moins une participation étatique — serait-il plus écologique pour faire face à une demande exponentielle? Plus fondamentalement, les véhicules privées hydroélectriques sont-ils partie intégrante d'une société de prendre soin des gens et de la terre-mère?
Pour lire le texte complet :
Le recyclage des véhicules à essence et des batteries lithium-ion
31/08/20 /19:13 /
Le Conseil national de Québec solidaire escamote la relance anti-pandémie
Le véhicule privée électrique perpétue l'extractivisme vers la catastrophe
Screenshot_2020-08-28 COVID-19 le nombre de morts en temps réel
Québec solidaire dégèle enfin son fonctionnement statutaire mais à moitié seulement en tenant un virtuel conseil national «extraordinaire» ce qui permet à la direction d'imposer son ordre du jour et de tronquer les débats au point que le cahier de propositions amendées sera connu seulement 24 heures à l'avance. Au début juin, le groupe Solidaires pour une démocratie interne (SDI), dont le Facebook enregistre 250 membres, a envoyé une missive à toutes les associations locales du parti pour réclamer un conseil national (CN) avant la fin juin suivi d'un CN normal, c'est-à-dire à ordre du jour ouvert, au début septembre. Cette demande est bien sûr caduque mais non l'ordre du jour souhaité soit un bilan du travail politique de Québec solidaire (QS) depuis le début de la crise du coronavirus (travail parlementaire, fermeture du parti, prises de position du parti) et un débat sur le plan de transition de QS et sa révision ainsi que sur le projet d’un « plan de relance post-crise du coronavirus ». De plus, récemment, certains membres de SDI ont soulevé des questions de procédure concernant le déroulement du CN qui ne dure qu'une journée, ne permet pas de clavardage entre les personnes déléguées et refoule celles observatrices à l'écoute téléphonique uniquement.
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Le Conseil national de Québec solidaire escamote la relance anti-pandémie