extractivisme


Le budget de l’an 1 : un choc réanimant le débat stratégique en dormance
Le suivisme Solidaire face au PQ à dépasser par le « care » anti-extractiviste

Apartheid Israël


Plus personne, même parmi les fédéralistes les plus acharnés, ne conteste la viabilité économique, et par ricochet budgétaire, d’un Québec indépendant. La différence de performance économique par rapport à l’Ontario n’est plus ce qu’elle était… même si la raison en est plutôt la sous-performance ontarienne. Y aurait-il une perte nette de revenus suite à la disparition de la péréquation ? Le gain à peu près équivalant d’effacement des dédoublements du nouveau budget de l’an 1 du PQ est sans doute quelque peu tiré par les cheveux : la différence n’aurait rien de dramatique. La démonstration d’une dette nationale relativement avantageuse par rapport aux autres pays du G-7 ou de l’OCDE est convaincante. La proportion de la dette fédérale moins importante que celles de la population ou du PIB est compatible avec l’apport relatif du Québec aux revenus ou aux dépenses fédérales. Même si certaines critiques du pro forma budget de l’an 1, c’est-à-dire toute chose étant égale par ailleurs, peuvent être pertinentes, on reste dans les marges.



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La nouvelle normale des extrêmes climatiques crée un appel d’air écosocialiste
Pour dompter la bête convergent grèves du secteur privé et Front commun [...]

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« Ni rire, ni pleurer, ni haïr, mais comprendre » écrivait le philosophe Spinoza à l’aube du siècle des Lumières. Cette folie décriée par Hansen se comprend à l’aulne des lois du capitalisme qui comme jamais enserrent l’humanité au point d’étouffer jusqu’à cette superficielle démocratie parlementaire qui sert de succédané à celle réelle de la direction des affaires du monde, économie et science compris, par le peuple travailleur. On la nommait socialisme avant que la catastrophe staliniste du XXe siècle ne vienne briser cette grande espérance au point que le social-démocrate capitalisme keynésien ait pu s’y substituer comme grande illusion. Ce capitalisme dit progressif est une contradiction dans les termes. Soutenu par une économie de guerre permanente doublée d’un toxique consumérisme engluant prolétariat et État dans l’étau de la dette permanente, il a fini par s’enliser dans sa contradiction profit versus bien-être. Il en fut balayé par le néolibéral « capitalisme pur » du consensus de Washington. Ce dernier, à coups d’endettement faramineux masquant une austérité permanente, a pris le relais du consumérisme des dite trente glorieuses (1945-1975) pour plonger le monde dans l’enfer climatique annonçant à brève échéance la fin de ce monde ouvrant la voie aux austéritaires extrêmes-droites fascisantes.


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Au pays du Québec, le capitalisme vert se prépare de beaux jours

Canada Québec libre pétrole

L'Agence internationale de l'énergie (AEI), qui défend les intérêts des producteurs de pétrole, « a publié une "feuille de route" détaillant les politiques et les innovations que les pays devraient poursuivre. Celles-ci incluent un arrêt immédiat de tous les nouveaux projets d'exploration pétrolière et gazière [et la fin immédiate de la construction de centrales au charbon, NDLR] et un passage sans précédent aux énergies renouvelables [… u]ne transition aussi spectaculaire nécessiterait 5 billions de dollars d'investissement par an, contre un peu plus de 2 billions de dollars aujourd'hui. » (The Economist Espresso, 19/05/21) Le chroniqueur économique de Radio-Canada n’a pas manqué de profiter de l’occasion pour surenchérir en citant le directeur de l’AEI : « "Au-delà des projets déjà engagés en 2021, il n’y a pas de nouveaux projets d’exploitation gazière et pétrolière dans notre plan de match, et il n’y a pas de nouvelles mines ou d’agrandissements de mines de charbon", écrit Fatih Birol, le directeur de l’organisme, dans cette étude publiée le 17 mai. » (Gérald Fillion, Il faut repenser nos transports, c'est urgent!, Radio-Canada, 28/05/21)


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