Feux de forêt


Feux, régimes forestiers québécois, « projets d’intérêt national » fédéraux
Les peuples autochtones mangeront toute une dégelée à moins que…

Manifestants autochtones continuent de perturber les travaux forestiers Ra...Canada

 
L’année 2025 s’annonce comme la suite des années records 2023-2024 en ce qui concerne la superficie des feux de forêts au Canada. Comment d’ailleurs se fier à des statistiques qui les excluent alors, par exemple, qu’en 2023 ces feux ont émis au Canada plus de gaz carbonique que toutes les autres sources réunies ? On ne le dira jamais assez : jusqu’à ce jour, les émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère non seulement croissent mais elles croissent chaque année, en moyenne lissé sur dix ans, d’une quantité croissante, les années 2023 et 2024 ayant battu des records.


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Feux, régimes forestiers québécois, « projets d’intérêt national » fédéraux


Dans un monde de plus en plus façonné par les guerres et les catastrophes
Banalisation tranquille de la crise écologique et abandon des luttes autochtones

Blocage innu - atikamekw

À moins d’être sans cœur et sans dessein, l’actualité de la semaine ne peut faire autrement que de mettre l’âme sens dessus dessous. Raison de plus pour ne pas oublier ces gardiens et gardiennes autochtones du territoire bloquant en ce moment des chemins forestiers. Le Québec est en feu quand ce n’est pas le Canada. Hier et demain c’était-ce sera l’Ouest étasunien, l’Australie, la France, l’Espagne et j’en passe. Il y a quelques mois ou semaines, au Québec, c’était le verglas et les inondations. Hier et demain, ces inondations étaient-seront ailleurs mais surtout au Pakistan et maintenant dans la basse vallée du Dniepr en Ukraine marquant leur rendez-vous macabre avec la guerre. Merci au fascisant et menteur impérialisme russe adepte de la guerre totale et ne craignant pas les crimes de guerre. Que toutes ces catastrophes suscitent contradictoirement une recrudescence du déni climatique (Étienne Leblanc,
Le déni climatique gagne du terrain, Radio-Canada, 8/06/23) démontrent la profondeur du désespoir populaire devant l’inaction des grands décideurs capitalistes et l’absence de crédibilité de la gauche.


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Banalisation tranquille de la crise écologique et abandon des luttes autochtones