capitalisme vert


Le néolibéralisme, coincé entre des services avares de productivité et une demande insolvable de produits essentiels, fait appel au capitalisme vert

Homme-Balancier

Mon dernier article,
La place du Québec dans la nouvelle division du travail tout électrique, portait sur la stratégie tout électrique de la bourgeoisie mondiale pour mater la crise climatique, les contradictions auxquelles fait face le capitalisme pour y arriver, le recours à l’impraticable captation-séquestration du carbone pour résoudre ces contradictions et la place du Québec comme porteur d’eau et scieur de bois dans cette nouvelle division internationale du travail. Il s’agit maintenant de débusquer le jovialisme du capitalisme vert, de constater son cul-de-sac comme stratégie et même ses reculades effectives. Cette dissection critique du capitalisme vert devrait nous mener à l’orée d’une alternative conforme aux constats scientifiques du GIEC-ONU et dégageant tant les moyens à déployer que les rapports sociaux à dégager.


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Le néolibéralisme, coincé entre des services avares de productivité et une...e vert


À la queue leu leu derrière le Plan économique vert (PEV) de la CAQ
Le capitalisme vert pervertit tous les partis de l’Assemblée nationale

CAQ et environnement égale pas tellement

La stratégie capitalisme vert, avec son rejet des hydrocarbures et sa promotion du tout hydroélectrique y compris pour l’auto solo, déboule sur le Québec comme un tsunami. Elle laisse voir un Québec gagnant, une nouvelle Alberta, dans la perspective d’une nouvelle division internationale du travail assise sur le nouvel extractivisme de l’électricité dite renouvelable se substituant, ou plutôt se superposant, à l’ancien extractivisme des hydrocarbures (Marc Bonhomme,
Au pays du Québec, le capitalisme vert se prépare de beaux jours, Presse-toi-à-gauche, 8/06/21). La gent affairiste fait dorénavant sienne dans l’enthousiasme ce scénario tout hydroélectrique et tout batterie sans renoncer pour autant et pour l’instant, malgré les récentes admonestations de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), au supposément combustible de transition que serait le gaz naturel qui remplacerait le charbon allemand (Alexandre Shields, GNL Québec souhaite vendre du gaz en Allemagne, Le Devoir, 22/05/21), en réalité le gaz importé de Russie auquel s’oppose le gouvernement étatsunien.

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Le capitalisme vert pervertit tous les partis de l’Assemblée nationale


L’enjeu politique de la crise climatique et de celle de la biodiversité
Transition vers le capitalisme vert ou rupture avec le « marché » ?

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On savait par l’actualité que la crise climatique et celle de la biodiversité frappent durement les petits États du Pacifique que la mer est en train de submerger, que les moussons de forces jamais vues ravagent l’Asie du Sud, que les Philippines sont dévastés par des typhons que l’histoire n’a jamais connus, que l’Afrique s’assèche et se désertifie à un rythme dévastateur, que le Grand Nord voit fondre ses glaces et amollir ses sols au point de menacer le mode de vie de ses habitants. Mais dans les zones tempérées où s’agglutinent la grande majorité des pays impérialistes qui comptent, à part quelques canicules qui n’ont pas que des désavantages pour ceux et celles ayant l’air climatisé et qui sont en moyen de prendre des vacances, des feux de forêts et quelques inondations plus fréquents frappant quelques malchanceux, et un peu d’érosion des côtes, mais quand même de sérieux ouragans ayant frappé les ÉU… mais ils sont riches et puissants, tout allait très bien madame la marquise. Puis vint la grande canicule de l’hémisphère Nord de l’été 2018



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Transition vers le capitalisme vert ou rupture avec le « marché »

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Quelle réponse à la crise de productivité du capitalisme ?
Capitalisme vert fascisant ou plein emploi écologique


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Dans un récent texte particulièrement synthétique et, comme à son habitude, statistiquement riche, l’économiste anticapitaliste Michel Husson défend la thèse de la crise de productivité du capitalisme néolibéral malgré que celui-ci ait restauré le taux de profit par une hausse significative du taux d’exploitation. Cette solution hétérodoxe, au sens qu’elle ne débouche pas sur un nouveau régime d’accumulation, résulterait en une défaillance permanente de la réalisation du capital à sa valeur (ou de la demande solvable en termes keynésiens) si elle n’était pas comblée par la consommation de luxe et surtout celle due à l’endettement généralisée. Dans la course à la compétitivité, intensifiée par la globalisation des marchés, s’est épuisé l’avantage des pays émergents d’où un probable retour en force de la crise de 2007-2008 comme crise de surproduction masquée par une crise financière.


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Quelle réponse à la crise de productivité du capitalisme 

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Note complémentaire à l’essai « Électrification à bon marché des transports pour Québec Inc. »

Le faux débat du taux de croissance des autos hydroélectriques


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Notes complémentaires à l'essai Électrification à bon marché des transports pour Québec Inc.

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Les conditions idéales du capitalisme vert à la québécoise
Électrification à bon marché des transports pour Québec Inc.

Longue banderole sables bitumineux

Cet essai vise à faire une critique du capitalisme vert réellement existant à partir du cas québécois, soit le véhicule hydroélectrique et le Réseau électrique métropolitain (REM) qu’encadre le marché du carbone, dans le contexte canadien et mondial. Cette critique est située dans le conjoncture et dégage une proposition d’alternative et un plan d’action.


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Électrification à bon marché des transports pour Québec Inc.