La place du Québec dans la nouvelle division du travail tout électrique
Porteur d’eau et scieur de bois hier, porteur de bois et scieur de bois demain


site-Minier


Pour les tenants du capitalisme vert, la solution purement technologique à la crise climatique consiste à parachever la révolution électrique du début du XXe siècle qui s’était fait damer le pion par le moteur à explosion pour les transports faute d’une batterie bon marché,
un échec de Thomas Edison, tout en ayant besoin des combustibles fossiles comme énergie primaire sauf la marginale hydroélectricité et au milieu du siècle l’électricité nucléaire restée tout aussi marginale et devenue toxique malgré d’initiales faramineuses promesses afin de masquer qu’elle était à la fois paravent et antichambre de l’arme nucléaire. Aujourd’hui, tant la combinaison de la révolution téléinformatique découlant du transistor, des circuits intégrés, du laser et de l’internet, et celle des nouveaux matériaux d’application tous azimuts découlant des progrès exponentiels de la chimie et de la physique et de leur osmose rendent possible, technologiquement et maintenant économiquement parlant, l’élimination des combustibles fossiles.


Pour lire le
texte complet :

La place du Québec dans la nouvelle division du travail tout électrique