Construire des alliances mouvements ouvrier et pour la justice climatique
Le tonifiant exemple allemand saura-t-il inspirer les mouvements québécois?

Cégep Vieux=Montréal -- transition juste


La conférence «
Construire des alliances entre les mouvements ouvrier et pour la justice climatique » du 18 juin (Global Ecosocialist Network, You Tube streams, Building alliances between Labour and the Climate Justice movements) organisé par le Global Ecosocialist Network a spécialement mis en évidence la remarquable interaction entre le mouvement Fridays for Future (FfF) et le Syndicat du transport public d’Allemagne lors de la journée du 3 mars dernier combinant la grève en cours de ce syndicat et la grève mondiale pour le climat lancée par le mouvement initié par Greta Thunberg (Franziska Heinisch et Julia Kaiser, Les premiers signes d'une lutte de classe écologique en Allemagne, Presse-toi-à-gauche, 4/04/23). Les interventions d’Afrique du Sud, des ÉU et des Philippines ont respectivement traité des stratégies de luttes locales, de la nécessité de démocratisation et non seulement de l’étatisation des pourvoyeurs d’énergie, de transition ouvrière débouchant sur la prise du pouvoir. Cette perspective situe la réflexion et l’action des Travailleuses et travailleurs pour la justice climatique (TJC) du Québec qui tentent avec courage et persévérance de marier lutte climatique et lutte syndicale.


Pour lire le texte complet :

Construire des alliances mouvements
ouvrier et pour la justice climatique


La cible GES 2030 de 178% des FTQ, Oxfam, Greenpeace. Équiterre, etc.
Une nécessaire cible internationaliste à la recherche… de la gauche 
RBC - Bombe climatique

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Tout comme la pandémie Covid-19, le dérapage climatique est une affaire mondiale

À son congrès de novembre, Québec solidaire adoptait en urgence une cible de réduction des gaz à effet de serre (GES) de 55% tendant vers 65% pour 2030 par rapport à 1990, ce qui en langue de bois politique signifie 55%. Il l’a fait à son corps défendant parce qu’une brochette d’organisations nationales québécoises et canadiennes sous le chapeau de Réseau Action Climat Canada davantage réputées pour leur positions modérées, à la veille de la COP26, réclamait une cible interne de 65% comme moyen terme d’une cible globale de 178% (Oxfam-Québec, COP26: François Legault doit faire ses devoirs sur le climat, 28/10/21). Vulgarisé sur une seule feuille multicolore, cette cible se justifiait en affirmant qu’« à l’échelle internationale, la juste part du Québec requiert également une coopération internationale, surtout avec les pays du Sud pour soutenir leurs réductions des émissions de GES » (Réseau action climat, La juste part du Québec dans la lutte pour les changements climatiques).

Pour lire le texte complet :

La cible GES 2030 de 178 pour cent des FTQ, Oxfam, Greenpeace. Équiterre, etc


La négociation du secteur public : Cumuler maintenant un capital de sympathie
Pour une dramatique hausse budgétaire vers une société de prendre soin

FSSS - assez surcharge


Le comité exécutif du Syndicat des employé-e-s du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (SÉCHUM), un des syndicats les plus combatifs du secteur public, s'est prononcé contre « [l]a proposition syndicale de la CSN qui prévoie des ajustement salariaux, [...pour] passer au travers la crise du Covid-19 [… qui] sont cependant moindre que nos demandes initiales [… et aussi] contre la proposition de la CSN d’une suspension de 18 mois des négociations » comme aussi le veulent la FTQ et la CSQ mais non l'APTS et la FIQ. Il semble cependant que toutes les centrales ont répondu au désir de la CAQ d'une négociation immédiate. Après sa première décision sensée de remettre la négociation après la pandémie, la CAQ a soudainement réalisé que le paroxysme de la négociation, la grande affaire de son mandat pré-pandémir, coïnciderait probablement avec la prochaine période électorale. C'est là un risque politique pour un gouvernement qui se confronte à plus d'un demi-million d'électrices et leurs familles d'où l'échéance de trois ans post-électoral mais plus courte que le cinq ans habituel pour encourager les centrales à considérer un règlement hâtif comme une simple partie remise.


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La négociation du secteur public -- Cumuler maintenant un capital de sympathie