La grande illusion de la rentabilité des énergies renouvelables
Une stratégie de baisse des GES ne sortira pas du processus des COP

Anthopocène


Un militant écosocialiste bien connu de Grande-Bretagne, Alan Thornett, vient de publier une lettre d’opinion dans la revue
Climate and Capitalism intitulé « Les critiques de la gauche dénoncent la COP28, mais n'offrent pas d'alternative » qui affirme d’entrée de jeu : « Bien qu'elle se soit tenue à Dubaï, dans les Émirats arabes unis (EAU), sixième producteur de pétrole au monde, et qu'elle ait été présidée par un haut responsable du secteur pétrolier dont le lobby des combustibles fossiles est le plus important jamais vu lors d'une conférence COP, la COP28 a été un événement étonnamment productif. » Puis d’étaler toute une série de décisions et de déclarations de cette COP et de précédentes qui annonceraient le déclin des hydrocarbures et leur remplacement par les énergies renouvelables. Ce diagnostic étonnant rejoint celui du représentant démissionnaire des ÉU aux COP, John Kerry, qui croit que « [la COP28 de] Dubaï était passionnante et vraiment différente. À Paris, nous avons dû nous résoudre à ce que chaque pays rédige sa propre contribution déterminée au niveau national - un engagement à ne faire que ce qu'il voulait faire. Certains ont fait quelque chose. D'autres non. Mais à Dubaï, nous avons réussi, aux petites heures de la nuit, à faire en sorte que les gens signent la transition vers l'abandon des combustibles fossiles. »


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La grande illusion de la percée des énergies renouvelables

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Réponse à Daniel Tanuro par un détour historique
Un gouvernement mondial pour sauver la civilisation

Enfants manif de la terre


Il faut prendre toute la mesure de la catastrophe du socialisme réellement existant du XX siècle. Le duo maudit des bureaucraties stalinienne et social-démocrate, couche sociale issue du prolétariat et de la petite-bourgeoisie, a brisé l’élan révolutionnaire tirant son origine de la révolution française de la fin du XVIII siècle. Cet élan se basait sur la forte aspiration socialiste du prolétariat jusqu’à la Première guerre mondiale laquelle s’est prolongée jusqu’à l’entre-deux-guerres. Ce élan dut faire face à une réaction prête à utiliser tous les moyens, du fascisme génocidaire jusqu’au consumérisme et militarisme écocides.


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Réponse à Daniel Tanuro par un détour historique -- Un gouvernement mondial pour sauver la civilisation