Transport en commun gratuit

Faut-il choisir entre gratuité du transport en commun et investissements, entre centres-villes et banlieues/régions ?

Enfant avec pancarte autobus et auto


Verbatim d'un échange Facebook entre un camarade de Québec solidaire (italiques) et moi-même

Les canicules/tornades/feux de cet été combinés au fait que le Québec n'est pas taraudé ni par le trumpisme, malgré la CAQ, ni par une crise de réfugiés, malgré la provocation caquiste du voile, ni par une crise économique, malgré le coup fourré de Bombardier et de SICO, a créé un espace pour une grande mobilisation pour le climat, la plus grande depuis 2012 et peut-être un cas unique au monde dans le sillage du rapport du GIEC sur le 1.5°C. Mais aucune revendication politique n'en découle ce qui permet à la CAQ de s'y joindre et de s'en tirer avec un discours lénifiant. À Québec solidaire, qui s'est fait connaître comme le seul parti écologiste sérieux durant les élections, de proposer à ré-actualiser les deux grandes revendications anti-GES qu'il a contribué à populariser soit LA GRATUITÉ DU TRANSPORT EN COMMUN et LE REJET DES PIPELINES par une campagne avec un plan d'action (distribution de tracts, pétition, manif...) et non pas une vague campagne sur le climat faisant l'éloge des autos solos électriques, marché du carbone, et REM dans la lignée de la politique gouvernementale.


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Faut-il choisir entre gratuité du transport en commun et investissements